Aller au contenu principal

Merz parle avec Trump du plan de paix des États-Unis

Trump a surpris les alliés européens avec son plan de paix pour l’Ukraine. Une première prise de contact a eu lieu peu avant le sommet du G20. Wadephul est sceptique.  

22.11.2025
Friedrich Merz aujourd’hui lors de son arrivée en Afrique du Sud pour le sommet du G20.
Friedrich Merz aujourd’hui lors de son arrivée en Afrique du Sud pour le sommet du G20. © pa/dpa

Cologne (dpa) - Le chancelier Friedrich Merz a discuté pour la première fois avec le président des États-Unis Donald Trump du plan de paix des États-Unis pour l’Ukraine. La conversation téléphonique a été « empreinte de confiance et d’engagement » et les « prochaines étapes » de la coordination au niveau des conseillers ont été convenues, a déclaré ensuite le porte-parole du gouvernement, Stefan Kornelius. Merz va maintenant en informer les partenaires européens.  

Selon les indications, Merz est le premier allié européen de l’OTAN des États-Unis à avoir parlé ave Trump du plan en 28 points controversé. Les Européens avaient été surpris de la proposition de Trump. Selon des indications du cercle du gouvernement allemand, ils travaillent désormais sur un projet de médiation qui doit encore être voté. D’autres discussions auront lieu lors du sommet du G20 à Johannesbourg. 

Pour le moment, le ministre allemand des Affaires étrangères Johann Wadephul s’est montré sceptique sur le fait que le plan de paix des États-Unis puisse être mis en place rapidement. « La dernière chose dont nous avons besoin maintenant, c’est d’agitation et de précipitation », avait déclaré Wadephul à l’ARD. Tout le monde comprend qu’une fin des tirs doit vite être obtenue. « Mais nous avons besoin de temps pour réfléchir à ce qui peut constituer une base fiable pour une paix durable. »  

Participe à notre sondage !

Ton avis compte !

Saisis ta chance et aide-nous à développer deutschland.de. Nous attendons tes idées avec impatience !

La participation est anonyme et ne prend que quelques minutes !

Pour accéder au sondage, clique ici.