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Le son de l’histoire allemande

L’histoire de l’Allemagne d’après-guerre était placée sous le signe de sa partition en deux Etats. Vous pouvez entendre ici des phrases historiques prononcées à cette époque.

25.04.2021
John F. Kennedy parle aux Berlinois en 1963.
John F. Kennedy parle aux Berlinois en 1963. © picture-alliance/ dpa

Vous oVous pouvez entendre (et voir) ici des moments de l’histoire de l’Allemagne d’après-guerre. Cette histoire était placée sous le signe de la partition comme ne la connaît sinon que la Corée. Elle a pris fin le 3 octobre 1990 avec l’assentiment des Alliés et des puissances vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale.

« Ich bin ein Berliner » – John F. Kennedy, président des Etats-Unis

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Le 26 juin 1963, Kennedy a prononcé cette phrase de profonde solidarité avec la République fédérale d’Allemagne sur le balcon de la mairie de Schöneberg à Berlin-Ouest. Son discours a été retransmis en direct à la télévision allemande et américaine et occupe un rang historique comme affirmation inébranlable des valeurs démocratiques et de l’amitié germano-américaine.

« Tear down this wall » – Ronald Reagan, président des Etats-Unis

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Le 12 juin 1987, dans son discours devant la Porte de Brandebourg, le président américain Ronald Reagan demandait au chef de l’Union soviétique, Michail Gorbatchev, d’abattre le mur de Berlin construit en 1961. En janvier 1986, Gorbatchev avait entamé une réforme en profondeur de l’Union soviétique avec les slogans de la perestroïka et de glasnost.

« Wir sind das Volk » – 70.000 citoyens est-allemands manifestaient à Leipzig.

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Le désir de liberté et de démocratie s’exprimait en RDA lors des « manifestations du lundi » qui avaient modestement commencé en septembre 1989. Avec la manifestation de quelque 70.000 Allemands de l’Est à Leipzig le 9 octobre 1989, cela devint un mouvement de masse que plus rien ne pouvait arrêter. Le slogan « Wir sind das Volk » (Nous sommes le peuple) soulignait le contraste avec le pouvoir de l’Etat. Siegbert Schefke et Aram Radomski ont filmé en secret les seules images de cette manifestation historique et les firent passer aux médias ouest-allemands.

« …sofort, unverzüglich ». – Günther Schabowski, secrétaire chargé de l’information en RDA

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Un mois plus tard, le 9 novembre 1989, Günter Schabowski lisait à haute voix pendant une conférence de presse la note maladroitement formulée qu’on lui avait transmise et qu’il interprétait en affirmant que tous ceux qui le voulaient pouvaient sortir de la RDA. Jusque-là, les candidats au départ étaient chicanés, « fuir la République » était lourdement puni et on tirait sur les fugitifs. Interrogé sur la date d’entrée en vigueur de la nouvelle réglementation, il déclara après une légère hésitation : « … sofort, unverzüglich » (… immédiatement, sans délais).  Résultat : des milliers de personnes se précipitèrent vers la frontière ; le Mur tombait dans la nuit même après 28 ans d’existence.   

© https://www.deutschland.de/fr

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